
UNE GESTION DES IA POUR LE PLUS GRAND NOMBRE
21 avril 2018
Anonyme
Puisque dans cet exercice il nous serait demandé quelque recommandation, il serait surtout important de reconnaître les besoins des gens en matière d'IA et pour lesquels certains seraient criants. Il serait donc important de reconnaître qu'il ne s'agirait pas ici de trop s'attarder à ce que serait l'intelligence mais bel et bien plutôt ce que seraient les problématiques réelles et spécifiques pour lesquelles nous ferions de façon assez limitée des choses pour les solutionner.
Si nous penserions par exemple à un robot diagnostic comme Watson concernant les cancers, si nous ne reconnaîtrions pas et au risque de quelque blessure narcissique que nous serions vraisemblablement des tueurs par rapport à eux qui pourraient en sauver 10, est-ce que ledit narcissisme ne deviendrait pas une autre problématique pour laquelle nous devrions trouver une solution pour la réguler (régler) avec ou sans IA?
Il serait possible maintenant de nous rétorquer que les IA pouvant entre autres sauver plus de vies directement ou non, elles pourraient favoriser ou non des problématiques encore actuelles comme la surpopulation dans certains pays, la famine, la transmissions de maladies, etc. Heureusement, nous saurions que non seulement ce serait faux parce que ce serait dû à d'autres facteurs, qu'il y aurait en ce moment une régulation toute naturelle, mais que nos IA actuelles s'attaqueraient déjà à ces problématiques de société.
Soit dit en passant, ne dirions-nous pas sociologiquement parlant que plus on est de fous plus on rit, que deux têtes valent mieux qu'une, qu'il vaut mieux se serrer les coudes, que l'union fait la force, que faire l'amour serait mieux que faire la guerre, etc.? Qu'aussi la vie n'ayant pas de prix, la mort ferait des malheureux autour d'elle? Que pour une entreprise ou non, perdre un membre pourrait coûter cher à une société et être difficile à remplacer, etc.?
Bref, quoi que nous pensions et fassions par rapport aux IA, il serait certain plusieurs paramètres à considérer : que rien ne serait parfait dans un monde dynamique de toute façon et depuis l'aube de l'humanité, que nous pourrions être justement un peu plus parfaits en régulant entre autres des problématiques sur le plan quantitatif, que sur le plan qualitatif nous pourrions définitivement nous affranchir de celles qui pourraient dater des temps les plus reculés comme entre autres certaines maladies, la force de travail, etc.